[hentai -16]Une cabane cachée par le feuillage {Feat Nigami}

«Une cabane cachée par le feuillage»

Terminal...

Ray N. Tayl with Nigami Asuna

«-J e…

je resterais à tes côtés…je partirais de …Hanw…ces bois po….ur toi.!...Hanw…ça vient…Je vais…J…J…jouir! »

Ses va et viens étaient toujours plus rapide. Je me sentais comme emprisonné par son corps et son âme. Ses belles paroles prononcés… Vivre avec moi et quitter ce bois sombre… Il pensait déjà autant à moi ? Tant mieux, parce que moi c’était mon cas aussi. Mais la belle promenade venait à ses fins un jour ou l’autre, mais un magnifique couché de soleil nous attendait. J’entendais tous ses respirations qui étaient en harmonies avec les miennes. Ma voit s’intensifiait avec des bruits de jouissance plus régulier.  Puis, très fermement il se stoppa en moi, un son sec sorti de ma bouche puis une semence  chaude éclata. Ses oreille on du entendre un cris strident ainsi que mes doigts serrer contre sa peau… Mon nom et le sien se firent entendre au même moment.

« -N…NI…NIGAMIIIIIIII »

« -RA….YYY ! »

Son corps écrasait le mien durement contre le mur et son torse chaud ou je pouvais ressentir ses pulsions en ma poitrine. Sa tête contre mon épaule me rassurait et me rendait tout un bonheur. Mon corps, telle une poupée en chiffon glissait contre le mur, mes sa jambe ne me laissait pas aller plus basse. J’étais soutenu par son corps. Nous nous soutenions mutuellement. C’était pour moi le meilleur moment d’union…

« -Hanw…Nigami… »

« -Ray…Reste contre moi… Mhh »

Je ne bougeais plus restant immobile un bon moment profitant de sa douce chaleur qui m’enveloppait…

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«Une cabane cachée par le feuillage»

«Une cabane cachée par le feuillage»

Action…

Ray N. Tayl with Nigami Asuna

Comme réponse, il vint m’embrasser dans mon cou, là où il avait pris de mon sang plus tôt. J’avais des frissons seulement en y repensent. Ses longs crocs transperçant ma peau. Mais contrairement à dans les bois, il n’était plus la même personne dans un sens tant il était devenue doux et attentif….

« -Je ne compte pas m'échapper…Tu vas devoir me supporter à présent. »

Un ricanement  timide et simple sortit de ma bouche comme seule réaction. J’enfonçai ma tête dans le creux de son épaule laissant mon souffle le caresser. Puis doucement, il prit du recul, je me demandais ce qu’il faisait, puis de suite, ses yeux violets transpercèrent les mien… Mes joues devenaient chaudes et me picotaient terriblement. C’était la première fois que quelqu’un me faisait ressentir cela.

« -Je sais plus si je te l'ai déjà dit…mais je t'aime! »

Mes prunelles s’emplissaient d’eau salée mais, ne coulaient pas. Un sourire illuminait mon visage. Ça y est, c’est définitivement le plus beau moment de ma vie jusqu’à présent. La guerre m’avait donné tant de mauvaises images sur l’amour et l’amitié, maintenant je pouvais voir le meilleur des côtés. Je voyais très bien ses pommettes rougirent de plus en plus. Cela me fit du bien.

« -J'espère que…ça ne te dérange pas hein…que j'ai jouis…en toi?… »

C’est à ce moment que je l’accompagnai dans son empourpement. Il était toujours là, en moi. Mon utérus était chaud et bien plein. Je pouvais pratiquement le sentir se déplacer.

« -Non ! …Je-e, je veux dire, non… »

Je tournais la tête, en décollant son front du mien. Avec mes bras je me mise à l’enlacer très fortement. J’avançais un pied devant l’autre le repoussent du mur. Mes yeux fixaient maintenant son corps.  Sans le relâcher de mon emprise, je lui murmurais quelques mots.

« -Je ne sais pas si tu es en moi ou si je suis en toi, ou même si tu m'appartiens. Une chose est sure je ne veux pas te posséder. Je pense que nous sommes tous les deux à l'intérieur d'un autre être que nous avons créé et qui s'appelle nous… »

Puis délicatement je viens l’embrasser. Cela devais faire plus de vingt minutes que nous étions autant près l’un de l’autre. Sans nécessairement  en avoir envie, je me décollais. Si vous vous demandez pourquoi, c’est parce que les demoiselles ont souvent envie de pipi après une relation, ce qui était soit dit en passant le cas. Je couvrais ma poitrine à l’aide de mes bras croisés et je le regardais doucement en souriant. Je lui fis « volte fesses », très beau jeu de mots,  et parti vers la salle de bain. Puis, je revins prenant le chandail par terre, l’enfilant de nouveau. Sans rien ajouté je vins m'asseoir sur le lit de Ray.

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«Une cabane cachée par le feuillage»

Conclusion…

Ray N. Tayl with Nigami Asuna

Puis , ça présence se fit sentir à côté de moi. Je ne pu m’empêcher d’ouvrir les bras et me coller contre lui, son corps toujours aussi brulant que plus tôt. Me redressant, je regardais vers la fenêtre illuminée par le soleil. Je posais un bisou contre sa joue si douce.

« -Je suppose que tu vas vouloir rentrer non ? Si c’est le cas, ce sera avec moi !Po l’choix ! »

Je laissais s’échapper de ma bouche. Ses doigts qui se promenaient sur mon front pour pousser quelques couettes tombantes me firent frissonner. Puis, il se détournait de moi prit un chandail qui mit et de façon sexy il tombait sur le dos contre son matelas. Je rougis l’imaginant toujours torse nu. De plus, ses cheveux volumineux et blanc s’éparpillèrent autour de sa tête.

« -Je n’aurais jamais pensé… qu’un jour, je me retrouverais avec quelqu’un dans cette cabane… et que je serais près à la quitter pour cette personne… Et puis c’est pas vraiment le grand luxe ici…. »

Puis, je me redressais doucement de matelas sans faire de bruit inutile. Rapidement, à petit pas, je passais dans la maison. Mes vêtements… Ils étaient entrain de sécher. Rapidement j’agrippais tout ni restant pas plus longtemps en rebroussant le chemin. J’enfilais mes sous vêtements et comme un animale, je longeais près de lui.

« -Tu viendras avec moi. »

Je me mise à jouer dans ses cheveux doucement, puis je m’assise en bond. Je m’étirais donc enfilant le reste de mes vêtements.

« -Aller ! On peut y aller ensemble maintenant. Ah! Mais avant tout, mon épée je vous en pris, sir. »

Puis je ricanais.

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-Tu viendras avec moi.

Voila qui le fit sourire. Il le voulait et elle le voulait. Voila qui les mettait sur le même pied d'entente. Elle s'amusa quelque peu avec ses cheveux et il la laissa faire. Il était à elle non? Il l'observa se rhabiller en vitesse. Elle aurait quand même pu lui laisser profiter un peu plus de la vision rho. Il fit alors de même en attrapant ses vêtements.

-Aller ! On peut y aller ensemble maintenant. Ah! Mais avant tout, mon épée je vous en pris, sir.

Il cligna des yeux. Elle semblait même pressée d'y aller. Il sourit et il s'approcha d'elle pour poser son front contre le sien et lui voler un baiser en fermant les yeux. Il glissa ensuite son visage le long de la joue de Nigami et lui chuchota à l'oreille.

-On est pressée? … Et je suis sur que tu sais déjà ou se trouve ton arme…

Il sourit en se reculant un peu. Il en était sur qu'elle savait. Il lui caressa la joue en la regardant dans les yeux. Il repensait à tout ce qu'ils venaient de faire ensemble. C'était…il n'avait jamais penser se retrouver ainsi prisonnier à quelqu'un et de son propre chef. Il resterait avec Nigami et il avait encore plus de raison maintenant. Il avait des responsabilités à tenir si…elle se retrouvait enceinte. Il serait prêt à se tenir à ses coter avec des enfants.

-C'est loin chez toi?

Dit-il tout simplement car…on allait chez elle non?

«Une cabane cachée par le feuillage»

Finale.

Ray N. Tayl with Nigami Asuna

Aprèsun délicieux baisé, il me murmura à l’oreille un simple phrase. Je souris en prenant une bonne inspiration.

« -On est pressé ?... Et je suis sur que tu sais déjà ou se trouve ton arme… »

Je ricanais, puis je repoussais une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. Bien sur que je le savais, mais je ne croyais pas qu’il s’en doutait. Mon esprit avait bien calculé la marge d’erreur entre autre, aucune. Je fis quelques pas et d’un geste précis je soulevais de matelas du lit et pris ma lame avec douceur. Je la reposais contre moi à nouveau, elle m’avait manqué.  Puis je retournais près de Ray. Sa douce main caressait ma joue un moment et la mienne fit de même.

« -C’est loin chez toi ? »

Ma demeure… En faite, je n’avais jamais voulut d’un palais comme les autres généraux et haut placés. Mon habitation était plutôt plusieurs emplacements. Des gens m’hébergeaient, mais j’avais bien un appartement privé où je n’allais que très rarement.

« -Hum.. Oui, je crois. Dis-on une semaine de marche au max, minimum quatre jours, cela dépend du rythme de marche et des arrêts. Mais ensemble ça passera très rapidement. »

Je lui souris en lui prenant la main tendrement

« -Allez, prend ce que tu veux et allons y ensemble. »

Spoiler:

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